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Comment porter plainte devant le tribunal pénal ?
Il suffit d'adresser une lettre au procureur de la République (adressée au tribunal de grande instance du lieu de l'infraction), ou de se présenter dans n'importe quelle brigade de gendarmerie
ou n'importe quel commissariat de police (qui transmettra la plainte au procureur de la République).
Cette lettre doit indiquer les noms, prénoms et adresse du plaignant ainsi que les faits reprochés. Il convient de décrire les faits le plus précisément possible (lieu, circonstances, date et
heure de l'infraction) et surtout, dans la mesure du possible, d'y joindre les noms et adresse des témoins.
Dès la plainte déposée devant le tribunal pénal, vous pouvez vous constituer partie civile, c’est-à-dire que vous demandez réparation du préjudice subi et formulez une demande de dommages et
intérêts. A ce stade, aucune preuve ne doit être négligée : un constat d'huissier ne pourra que renforcer les chances de voir aboutir la procédure engagée à la condamnation du fautif.
Une fois la plainte déposée auprès du tribunal, le procureur de la République examine le bien-fondé et décide :
de classer l’affaire sans suite (infraction non prouvée, auteur non identifié, …) ;
de mettre en œuvre des mesures alternatives aux poursuites pénales (médiation, rappel à la loi, composition
pénale...) ;
d’engager des poursuites pénales.
La médiation pénale
Le procureur peut essayer d'apaiser les esprits en recourant à une médiation pénale. S'efforçant de trouver une solution au conflit
qui oppose les parties. le médiateur les convoque une ou plusieurs fois si nécessaire et s'efforce d'instaurer un dialogue entre les adversaires afin de résoudre le litige. A l'issue de cette
procédure, où tout arrangement possible entre les parties est envisageable, les résultats de la médiation sont transmis au procureur. Ce dernier peut alors mettre fin à la procédure ou
poursuivre l'affaire devant le tribunal compétent. La médiation pénale est gratuite et ne nécessite pas d’avocat.
Les poursuites
Si aucune solution n'est trouvée, l'auteur des faits est convoqué par le procureur de la République devant le tribunal de police. Il encourt au maximum une amende de 450 € et peut, si la
victime se porte partie civile, être condamné à verser des dommages et intérêts.
La démarche judiciaire ( II ) |
|
La procédure civile
Selon l'importance du litige, la victime du trouble de voisinage peut engager une action devant :
Le tribunal d’instance
Le tribunal de grande instance |
La démarche judiciaire ( II ) |
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La procédure civile
Selon l'importance du litige, la victime du trouble de voisinage peut engager une action devant :
Le tribunal d’instance
Le tribunal de grande instance |
Hier soir lors de la réunion du conseil de quartier nous avons eu le droit un scoop, en
effet Monsieur FRAGER adjoint au Maire a annoncé que 38 logements sociaux devait être construit par la ville. Le lieu de construction se trouve sur le site de l'ancien garage opel et de la
pizzeria "speed rabbit". Outre des logements le programme devrait inclure l'installation de commerces de proximité.
Ce sont les propriétaires de pavillon de l'avenue Boquet qui vont être content....
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Un lycéen marocain sans papiers de 18 ans, scolarisé à Colombes (Hauts-de-Seine), se trouvait vendredi au centre de rétention de Vincennes, dans l'attente d'une possible expulsion, ont dénoncé le syndicat CGT Educ'action et le Réseau éducation sans frontières (RESF). Mohamed Abourar, scolarisé au lycée professionnel Valmy de Colombes en 1re année de Bac Pro Hygiène et environnement, a été arrêté dimanche, gare Montparnasse à Paris, ont indiqué les deux organisations. Selon la préfecture de police (PP), le jeune homme "a été contrôlé pour consommation sur la voie publique d'alcool dans un périmètre interdit". "Il a émis des menaces de mort à l'encontre des policiers qui ont porté plainte", ajoute la PP. Selon Richard Moyon, responsable de RESF, "cette procédure n'a donné lieu à aucune poursuite". Placé en garde à vue, le lycéen a fait l'objet d'un arrêté préfectoral de reconduite à la frontière (APRF) et son recours a été rejeté jeudi par le tribunal administratif de Paris. La procédure a également été validée par le juge des libertés et de la détention et la cour d'appel de Paris. "Si le consulat du Maroc délivre un laissez-passer, il sera expulsé", craint M. Moyon. L'un des enseignants du lycée Valmy, Boubakar Mazari, assure que le jeune homme avait déposé un dossier de régularisation en novembre dernier. "Il est arrivé en France avec son père à l'âge de 13 ans et demi, c'est malheureusement six mois trop tard pour espérer une régularisation d'office" en vertu du code des étrangers, a poursuivi M. Moyon. "Nous avons fait appel au rectorat de Versailles et à l'Inspection académique des Hauts-de-Seine pour éviter cette expulsion", a ajouté M. Mazari. Selon un communiqué de la CGT Educ'action, "le comportement exemplaire de Mohamed et son investissement" sont "salués" dans l'établissement. Le lycéen bénéficie actuellement d'un contrat "jeune majeur" auprès de l'aide sociale à l'enfance, un dispositif réservé aux majeurs âgés de moins de 21 ans qui connaissent des difficultés.
Le conseil de Quartier Petit-Colombes/Charles De Gaulle et ses partenaires La régie de Quartier La Passerelle, le secours populaire Français et le CSC du Petit Colombes invitent les habitants du
quartier à une réunion publique autour d’un repas convivial le Samedi 26 décembre 2009 à l’Espace des 4 chemins 145 boulevard Charles De Gaulle à Colombes.
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